COURTS MÉTRAGES


Ils ont été un passage entre les films industriels et le long-métrage. Je n'ai fait qu'un seul court-métrage de fiction car j’ai vite compris que c’était une économie très difficile. C’est presque parfois plus dur de trouver l’argent pour un court que pour un long. Je pense qu’il faut veiller à ne pas devenir un « professionnel du court-métrage » et se confronter assez rapidement aux difficultés du long-métrage, notamment en ce qui concerne le scénario et la dramaturgie.


LA POMME ROUGE




+ PLUS

CONTRE L’OUBLI (1991)
A l’occasion du 30 ème anniversaire d’Amnesty International, une association a eu l’idée de cette opération montée avec Canal Plus : « 30 réalisateurs, 30 court-métrages » pour parler de la condition des prisonniers d’opinion à travers le monde.

L’ECOLE DES CHEFS (1981)
J’avais présenté plusieurs demandes de subvention au CNC pour divers projets, sans succès. A l’époque, je faisais beaucoup de programmes d’entreprise en vidéo. J’ai eu l’idée d’un film pouvant être tourné très rapidement, en studio. J’ai demandé qu’on me prête un plateau et une régie pendant une journée et, avec mes économies, j’ai fait ce court-métrage.


ENFANTS DU BENGLA-DESH
J’avais participé à un concours de scénario. J’ai gagné une caméra super-8 et un billet d’avion. Le Bengla-desh sortait d’une immense famine. J’y suis allé. Je ne savais pas me servir d’une caméra. le résultat n'a pas été formidable ...